Avec le SMICTOM, il nous prend pour des pommes.

Sud Ouest Aïtsiali a écrit:
Il est 7 h 50, lundi dernier, lorsque les trois ripeurs de la société Véolia, qui enlèvent les sacs d'ordures ménagères dans le lotissement de Fossillon, sont bloqués par les riverains de la rue des Coquelicots (huit maisons), déplorant que leurs poubelles ne soient plus ramassées depuis le 1er juillet.
Le Smictom Vals Aunis (Syndicat mixte pour la collecte et le traitement des ordures ménagères) a, pour des raisons de sécurité, révisé les tournées de ramassage (sacs jaunes compris) afin que les camions ne pénètrent plus dans les culs-de-sac et éviter ainsi qu'ils reculent pour en ressortir (sept morts en 2008 dans les grandes métropoles).
L'appel à Patrick Blanchard
Les riverains ont donc l'obligation d'entasser leurs sacs-poubelle dans les angles de rue. Durant vingt-quatre jours, les poches se sont ainsi entassées dans la rue des Coquelicots et, après avoir essayé, sans succès, de contacter Bernard Ferrier, maire de Marans et conseiller général (absent de Marans), les habitants de la dite rue ont rencontré Patrick Blanchard, maire de Longèves et président de la communauté de communes, qui s'est rendu sur les lieux le 21 juillet.
Ce même jour, Patrick Blanchard présentait les revendications des propriétaires aux responsables du Smictom Vals Aunis, qui mettaient en avant des problèmes de sécurité et la géométrie de la voie.
Une motion avait également été rédigée, à l'issue de la réunion de la CdC, le 22 juin dernier, demandant au syndicat mixte de revenir sur sa décision de supprimer les marches arrière dans les rues ou impasses dans lesquelles le camion de collecte ne pourra pas opérer de demi-tour. Il était aussi demandé au Smictom d'élaborer des règles internes permettant d'améliorer la sécurité du personnel tout en garantissant la continuité du service rendu aux habitants. Les riverains se sont ensuite tournés vers la police municipale pour faire constater la taille du tas d'ordures que les employés municipaux ont retiré, jeudi 23 juillet dernier.
Et la décision était alors prise de donner un premier avertissement en bloquant le camion lundi dernier, afin de faire réagir les intéressés.
Une fois le camion entré dans la rue des Coquelicots, l'un des habitants a mis son véhicule en travers. Les trois employés ont été retenus dans la bonne humeur, le temps que les riverains puissent contacter le Smictom (qui s'est engagé, oralement, à enlever de nouveau les sacs d'ordures ménagères).
Ailleurs dans le canton
Les habitants de la rue des Coquelicots (qui sont âgés de 62 à 81 ans) sont prêts à durcir le ton si l'engagement n'est pas respecté (1).
À Marans, 23 rues sont concernées par cette nouvelle mesure. Et, dans le canton, la commune de Longèves est touchée (pour trois rues), au même titre que Charron, Andilly et Saint-Ouen. Pour cette dernière, la rue Fief 14, un axe d'entrée, n'est plus desservie, ce qui gêne un des riverains, handicapé.
(1) Un courrier a été envoyé par l'un des riverains au préfet du département, au président du Conseil général et au député de la circonscription.

Kaiser_Sauser a écrit:Il les avait invités le 15 juillet, en sachant pertinemment qu’il serait déjà très loin de Marans au volant de son camping-car, une façon très élégante d’éluder un problème…

Anis a écrit:Faudrait peut être arreter les conneries, c'est facile de critiquer sous un pseudo mais si ça vous plait pas il faut aller se plaindre à la mairie.
On va quand même pas me dire qu'on peu pas faire 100 m pour apporter ses poubelles, faut arreter de déconner la, mois je le fais tous les jours et je demande rien à personne.

Anis a écrit:A VOGEL
Faut arreter tes connerie mon gars, les vieux soit y sont en bonne santé et y peuvent se débrouiller tout seul, soit y sont malades et dans ce cas les maisons de retraite c'est pas fait pour les chiens.